Une philosophie qu’elle a adoptée jusqu’à présent. « On partageait les mêmes choses, il comprenait ce que je vivais et réciproquement. Ce ne sont pas des broutilles, des pacotilles, des filles de passage qui m’importunaient », affirmait-elle lors d’une récente entrevue accordée à Télépoche. « Quand on fait des métiers comme le mien, on garde une certaine fraîcheur. Lorsque je remonte sur scène. J’oublie tout. C’est un lavage de cerveau parfait. On n’a pas besoin d’un psychiatre. »