Les anciens candidats de l’émission de dating- champêtre de M6 suscitent toujours un intérêt particulier de la part du public lorsqu’ils réapparaissent à la télé. Les téléspectateurs souhaitent surtout s’informer des nouvelles de leur couple. Pour ce mardi 2 février 2021, ce n’est pas pour évoquer son histoire d’amour que Thierry était monté sur le plateau de TPMP ; il a fait part de sa terrifiante agression à la hache orchestrée par son voisin.
Thierry Olive a gagné en notoriété depuis son passage remarqué dans la septième saison de L’amour est dans le pré. Son personnage jovial et parfois maladroit a très vite conquis le cœur des Français au point d’en devenir l’agriculteur emblématique du programme de Karine Le Marchand. Il y rencontre Annie, qu’il épouse le 15 septembre 2012, et avec qui il a fondé depuis un nouveau foyer.
« J’ai un mal, c’est qu’on a jamais eu d’enfants » !
« J’ai un mal, c’est qu’on a jamais eu d’enfants. J’ai fait des démarches pour adopter mais c’est un casse-tête terrible aujourd’hui. Lorsqu’il y a des petits enfants qui sont dans la misère, on pourrait les aider parce que j’adore les enfants« , confiait-il en octobre dernier depuis le plateau de Touche pas à mon poste.
De passage ce mardi 02 février dans TPMP, Thierry Olive est revenu sur sa terrible agression à la hache commis par l’un de ses voisins !
« Ce soir, si je suis là c’est un miracle. J’étais les mains dans les poches dans un chemin communal et il y a un voisin qui vient d’hériter de terres et il était en bas du champ« , commençait-il par raconter.
Thierry Olive dépose plainte.
Et de poursuivre : « il a laissé le tracteur dans le champ et il est venu vers moi ! Je pense qu’il a vu les émissions L’amour est dans le pré. Il s’est ramené en courant et il me menace avec sa hache ! J’ai eu la hache à presque 20 centimètres ! J’ai jamais vu ça de ma vie. Il était farfelu, il a quelque chose au bocal« .
Sans comprendre la motivation de son voisin, Thierry Olive s’est vu contraint de déposer plainte pour ne pas que cela se reproduise.
