Lorsque les fanzouzes étaient venus à l’époque à la défense de Cyril Hanouna, Audrey Pulvar maintenait sa position et ne se laissait pas démonter.
« Faire qu’une femme touche le sexe d’un homme (en l’occurrence son patron) ou d’une autre femme sans son consentement, cela s’appelle une atteinte ou une agression sexuelle », expliquait-elle. Et de rétorquer à celui qui lui a répondu qu’il ne s’agit que d’un jeu : « Pardon, mais mes amis et moi ne jouons pas à nous toucher le sexe. #BordeauChesnel »