Morte le 30 septembre 1985, « Ça a été un peu mon problème psychologique à moi. Ça a été mon drame« , confessait-il. Entre « la maison de famille où elle est morte », « le palmarès, les films, les récompenses, les Awards, les Bafta, les Palmes, les prix d’interprétation…« , le mari d’Aurore Aleman n’avait rien oublié.
Vers la fin, Benjamin Castaldi était revenu sur ses obsèques. « Un enterrement, normalement c’est triste, mais quand vous avez des dizaines de milliers de personnes qui sont sur tout le cortège (…) avec des pancartes ‘Simone’, vous pleurez moins », a-t-il fait savoir. « Le deuil est plus facile à accepter« , ajoutait-il encore.