« Initialement, je me destinais à une carrière d’infirmière, confiait-elle ce janvier dernier auprès du magazine Nous Deux. Au cours d’un stage, expliquait-elle. J’ai été en contact avec des personnes atteintes d’Alzheimer et d’autres maladies neurodégénératives. Elles m’ont beaucoup touchée. Elles ont besoin qu’on s’occupe d’elles, besoin de recevoir des sourires. »
Pour le compte de ses études, Amandine Petit avait en effet bien avant son sacre effectué des stages au centre Baclesse à l’hôpital Saint-Martin. Egalement à la résidence Domitys, Caen. « Comme dans le cadre de mes études, j’avais acquis un bon réseau dans les maisons de santé de ma région, j’étais très soutenue », révélait-elle ce 30 avril au magazine Voici.
« Certaines personnes avaient même demandé à ce qu’on note mon numéro de candidate sur leur pilulier pour être certaines de ne pas se tromper », s’était-elle amusée.
« Pour l’instant je suis Miss France, je vis l’aventure à fond, rajoute-t-elle avant de faire part de son désir de diriger un jour un Ehpad. Mais ce n’est pas parce que je vis un rêve que je ne me projette plus dans ce métier. »